CAMPO
La tarde está muriendo / le soir se meurt
como un hogar humilde que se apaga. / comme un foyer humide qui s'éteint
Allá, sobre los montes, / là-bas, sur les montagnes
quedan algunas brasas. / quelques braises demeurent
Y ese árbol roto en el camino blanco / et cet arbre cassé sur le chemin blanc
hace llorar de lástima. / fait peine à en pleurer
¡Dos ramas en el tronco herido, y una / Deux branches sur le tronc blessé, et une feuille
hoja marchita y negra en cada rama! / fanée et noire sur chaque branche
¿Lloras?... Entre los álamos de oro, / Tu pleures ? Parmi les peupliers d' or,
lejos, la sombra del amor te aguarda. / loin, l'ombre de l'amour t'attend.
Antonio Machado
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C'est beau ! je crois avoir (à peu prés compris).Je me souviens avoir vu la tombe de Machado à Collioure, il y a tellement longtemps (peut-être que je confond) JC
RépondreSupprimerC'est exact, tu ne confonds pas. Il a été enterré à Collioure, ainsi que sa mère je crois.
RépondreSupprimer(J'ajoute la traduction du poème...)
Amitiés